Soumise Marjorie

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il y a 7 ans

Assise sur moi, Marjorie vient de jouir en ondulant lentement son bassin. Elle prend soin de bien écraser son clito. Les yeux fermés, la tête renversée en arrière elle gémit. Mes mains palpent ses seins. Je prends un malin plaisir à pincer ses tétons, provoquant un râle plus bruyant. Je me retiens, mais plus pour très longtemps. Mon sexe est profondément fiché en elle et ses mouvements d’avant en arrière décalottent au maximum mon gland. Je n’en peux plus, je lui donne une tape sur la fesse et avec mes deux mains je saisis ses hanches pour faire accélérer la cadence. Mon corps se contracte et je soulève instinctivement mon bassin. C’est presque douloureux maintenant quand elle bouge alors, avec mes bras, je la plaque contre moi pour l’immobiliser. Mes mains caressent ses fesses. Je fais rentrer le bout de mon majeur dans son anus et cela déclenche mon éjaculation en saccades.

Nous restons comme cela quelques instants.

Marjorie se redresse doucement. Nous nous observons sans rien dire. Nous nous embrassons tendrement. Ma langue franchit ses lèvres et tourne dans sa bouche. Elle met fin à ce baiser par un smac et se redresse. Comme ankylosée, elle se soulève en faisant sortir délicatement mon sexe ramolli, qui retombe comme m o r t , luisant d’un mélange de mouille et de sperme. Elle se lève et plaque rapidement sa main sur son sexe et quitte le lit… Moi je reste là, bras croisés derrière la tête, tel un macho fier de son résultat, comblé et apaisé. Je la regarde s’éloigner vers la salle de bain.

Je somnole quand elle revient au bout d’un quart d’heure. Je ne l’ai même pas entendue revenir, c’est un baiser sur mon sexe qui me fait ouvrir les yeux. Marjorie remonte sur le lit et se couche à côté de moi. Elle me caresse le torse. Elle sent bon. Je pose ma main sur son ventre plat et remonte doucement jusqu’à ses doux seins. Sa peau est encore tiède de la douche qu’elle vient de prendre. Ses cheveux noirs, longs et mouillés au contact de mon corps me font frissonner.

Cette douceur est suffisante pour me refaire bander. Ma main continue ses allées et venues entre ses seins et son ventre. Je l’attire vers moi pour lui dérober un baiser. Quand je me redresse pour changer de position et passer au-dessus d’elle, c’est là que Marjorie remarque mon état. Elle me repousse et se lève :

— Non ! Je n’ai plus le temps, dans une demi-heure j’ai rendez-vous !

— Ah m e r d e , j’avais oublié ! C’est nul… Tu ne vas pas me laisser dans cet état quand même !

— Mais je reviens vite, j’en ai pour une heure tout au plus ! me rassure-t-elle.

— Oh j’ai trop envie de toi maintenant, tu ne veux pas juste me sucer alors ?

— Non, je dois encore m’habiller et encore me maquiller, mais promis, après je serai rien qu’à toi et je satisferai tous tes désirs !

Excité, la verge dressée, j’ai vraiment envie de la repousser sur le lit et de la prendre sauvagement avec ou sans son accord. Mais quelque chose de bien plus excitant me traverse l’esprit. Je veux et vais a b u s e r de la situation et profiter des nouveaux gadgets sexuels plutôt innovants trouvés sur un site internet :

— Ok, je te laisse partir ! Mais quand tu rentres, tu vas déguster mon amour ! Compte sur moi !

— Ça marche, mon chéri, avec plaisir !

— Mais je veux te mettre en condition en attendant, j’ai un petit truc pour toi !

— …

Pas trop inquiète de mes éternels fantasmes, Marjorie se retourne et ramasse ses sous-vêtements jetés à la va-vite dans la pièce, pour se rhabiller. Un tanga en dentelle noire, un soutien-gorge assorti, et une robe noire légère. Moi je mate son corps, ses courbes et sa chute de reins.

Je me lève et file à mon tour sous la douche pour me savonner. Marjorie me rejoint dans la salle bain pour se coiffer et se maquiller. Moi sous la douche, je bande toujours, ce qui la fait sourire. Je sors de la douche, m’essuie et file dans la chambre fouiller derrière mon tas de chaussettes pour sortir le premier de mes gadgets. Je m’habille en toute hâte et renferme mon érection dans mon jean.

Marjorie est sur le point de partir. Je lui présente le gadget. Elle identifie de suite ce petit œuf rose :

— Et j’en fais quoi de ton truc ? me demande-t-elle.

Je lui explique que c’est comme ses boules de geisha, qu’elle doit le mettre en place et que quand elle sera de retour, elle sera juste à point pour moi. Elle hésite, fait un peu la moue mais, à f o r c e d’insister, elle accepte ma requête.

En fait cela n’est qu’une toute petite partie de la réalité. Elle ne sait pas que ce simili-godemiché qui paraît ordinaire, obéit à une petite télécommande en ma possession. Système très simple d’utilisation, un bouton marche-arrêt et deux touches correspondant au réglage de l’intensité des vibrations.

Marjorie me prend le petit œuf des mains, le porte à sa bouche pour le lubrifier. Elle soulève sa robe, descend légèrement son tanga et le met en place d’un geste des plus naturels. Elle réajuste sa tenue, prend son sac à main, ses clefs et me bisouille :

— À tout de suite, je me dépêche, me lance-t-elle en refermant la porte.

Je saute dans mes baskets, chope mes clefs et me mets en mode James Bond. Je commence ma filature en dévalant quatre à quatre les escaliers pour la rattr a p e r. Je suis comme un gamin qui joue à la guerre, je marche à une distance raisonnable d’elle, baissant la tête et changeant de trottoir.

Marjorie marche d’un pas assuré, le gode en elle n’a pas l’air de la gêner plus que ça !

Elle arrive à l’heure au bar où sa copine Esther est déjà attablée. Il y a foule, entre les personnes debout, celles au comptoir, la musique à tue-tête et la pénombre d’ambiance, je suis rassuré quant à ma discrétion et l’efficacité du camouflage.

Je me trouve une petite place au coin du zinc et surveille activement ma proie chérie qui me tourne le dos. Je commande une bière, la partie ne fait que commencer.

A priori elles discutent, sourient, rigolent et gesticulent comme deux copines d’école. C’est le moment que je choisis pour sortir ma télécommande. Je l’active et appuie sur le bouton de l’intensité, deux barres s’affichent.

Je regarde Marjorie, mais elle semble indifférente. Pas de réaction particulière. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle hurle de plaisir comme Meg Ryan dans « Harry rencontre Sally », mais quand même un petit truc. Du coup, j’augmente l’intensité à quatre barres. J’attends impatiemment quelques secondes. Rien. Je pousse à fond et monte à huit barres. C’est nul ce truc, pourtant l’essai que j’avais fait tout seul à l’appartement était assez impressionnant. Les vibrations au maximum étaient fortes, autant que l’autre vibromasseur que nous possédons déjà. Comment peut-elle rester insensible et de marbre ? Les piles sont toutes neuves. La distance ! C’est un problème de distance !

Je dois absolument me rapprocher, il y a une table qui se libère à une distance nettement plus proche et me place presque de profil. C’est vraiment trop près, je risque de me faire démasquer, tant pis si elle me voit. Je me rapproche pour prendre place.

Marjorie est en train de remuer son thé, lorsque le vibro se met en marche avec mes derniers réglages en mémoire, c’est-à-dire f o r c e maxi. Je l’entends pousser un râle et se lever brusquement. Elle pose instinctivement sa main sur son ventre et reste quelques instants bouche-bée. Je panique et coupe les vibrations. Marjorie réalise enfin que quelques personnes l’observent, dont Esther qui est surprise et interrogative. Les joues rosies, elle se rassoit, faisant mine de s’être brûlée la main avec son thé. L’incident est clos, les deux filles se remettent à discuter. Marjorie semble me chercher, elle regarde aussi discrètement que possible les alentours.

Je fais ce que je peux pour me cacher en baissant la tête, mais trop tard, elle vient de me repérer. Elle me fusille du regard. Moi de mon côté, je n’ai pas d’autre choix que de lui décocher un sourire et de remettre le vibro en marche. Marjorie ferme brièvement les yeux quand Esther la tire de ses rêveries en posant sa main sur son bras.

J’adore ce petit jeu, prendre le contrôle de son plaisir avec ce gode fiché en elle. J’imagine l’état de son sexe qui doit être humide, mouillé. La voir ainsi soumise à mon petit boîtier, devoir prendre du plaisir et même jouir en silence, devant tant de monde, avec sa copine Esther juste en face d’elle. Devant faire comme si de rien n’était, contrôler tout son corps jusqu’au moindre fait et geste, s’interdire tout râle, gémissement, grimace. Rester concentrée et attentive au fil de la discussion. Cette sensation que tout le monde sait que quelque chose vibre entre ses cuisses. Se sentir observée.

Le vibro est toujours en marche. Esther se lève et va aux toilettes. Marjorie attend quelques instants et se lève pour venir me voir. C’est alors que j’augmente la puissance et lui fait signe de se rasseoir. Faisant un pas de plus vers ma direction je monte la puissance au maximum et réitère avec un signe l’ordre de se rasseoir. Marjorie abdique et retourne s’asseoir avec une certaine maladresse. La vibration est toujours au maximum. Elle ne me regarde même plus. Elle se trémousse sur sa chaise. Ses deux mains sont crispées sur les accoudoirs.

C’est magnifique de la voir ainsi respirer profondément. Je pense que l’on atteint ses limites, elle doit être aux bords de l’orgasme. Je ne sais pas ce qui va se passer. Va-t-elle jouir en silence ? Va-t-elle gémir doucement ? Gardera-t-elle les yeux ouverts ? Cette situation me fait bander, j’ai envie de sortir mon sexe et de me branler tellement cela m’excite.

Mais déjà sa copine est de retour, Marjorie est toujours immobile dans la même position, je ne veux pas prendre trop de risques non plus, alors je redescends au mini la puissance des vibrations.

Esther reprend place, pendant que Marjorie retrouve ses esprits. Je décide d’en rester là et de rentrer. Je laisse le gode actif, ne sachant pas si les vibrations vont continuer quand je serai hors de portée du signal.

Je rentre excité à l’appartement. Son retour me paraît indéfiniment long. Cela m’a largement permis de mettre la chaîne hi-fi en route sur une station quelconque, et de me munir d’un bandeau en tissu que je mets dans une poche de mon jean pour la suite de notre fin d’après-midi. Je me love sur le canapé et attends. Plein d’images défilent dans ma tête, toutes plus osées les unes que les autres sur ce que je lui prépare.

La voilà qui rentre. Je saute du canapé pour l’accueillir. Mais à peine la porte claquée :

— Espèce de salaud, hurle-t-elle, en me sautant à moitié dessus.

— Mais c’est toi, la chaudasse, qui ne sait pas se tenir en public ! je lui réponds.

Nous rigolons tous les deux, et cela se transforme en pseudo bagarre dans le couloir. Au fur et à mesure nous nous dévêtons, pour nous retrouver, elle, sans robe et moi, torse nu dans le salon. Je l’enlace et nous nous embrassons à pleine bouche. Mes mains caressent ses cheveux, sa nuque, ses épaules, et descendent jusqu’à l’agrafe de son soutif que je défais. Elle, comme pour se venger me griffe le dos avec ses ongles. Je la repousse et lui retire son soutif que j’envoie valdinguer quelques mètres plus loin. Je sors de ma poche la fameuse télécommande et la remet en marche. Marjorie lâche enfin un râle audible de plaisir. Je reviens vers elle, prudent, et prends ses seins entre mes mains. Je les soupèse et pince ses tétons entre mon pouce et mon index. Ma bouche embrasse puis suce un téton déjà durci.

Cette fois, c’est elle qui me repousse, mais se met aussitôt à genoux devant moi pour défaire ma ceinture et déboutonner un à un les boutons de mon jean. Quelle délivrance pour mon sexe qui n’a pas arrêté de bander. Lorsqu’elle fait descendre mon jean et mon caleçon, mon sexe jaillit dressé à quelques centimètres de son visage. Elle observe ce membre tendu, puis me regarde droit dans les yeux. Je finis d’ôter mes fringues moi-même et récupère le bout de tissu que j’avais mis dans ma poche :

— Donne-moi tes poignets, lui dis-je.

— Mais tu…

— Tu m’avais promis de satisfaire tous mes désirs, lui dis-je en lui coupant la parole.

Toujours à genoux, elle me tend ses poignets. Je tourne le bout de tissu autour de son poignet gauche et fais un nœud, puis je lui relie son autre poignet en faisant un double nœud. Je m’accroupis et l’embrasse sur la bouche, dans le cou, et lui re-pelote les seins. Puis ma main descend le long de son ventre et franchit son tanga. Du bout de mes doigts, je lui caresse enfin son sexe. Elle écarte ses genoux pour me faciliter l’accès. Son sexe est trempé et je ressens les vibrations du gode. J’adore, je fais entrer à peine le bout de mes doigts entre ses lèvres puis remonte un peu pour titiller son clitoris :

— Je t’aime et tu vas te faire sodomiser dans quelques instant, je lui susurre à l’oreille.

— Je t’aime, me répond-t-elle.

Je me remets debout et me présente face à elle. Ma main dirige mon sexe vers sa bouche. Sans hésiter, elle m’ouvre sa bouche et sors la langue pour m’accueillir. Je pose mon gland dessus et rentre doucement dans sa bouche, qui aussitôt se referme. Ses joues se creusent. Je caresse ses cheveux avec mes mains puis enserre sa tête pour lui imposer un rythme de va-et-vient. Je souffle et respire profondément tandis qu’avec le bout de ses doigts, elle me caresse les bourses.

Je l’aide à se lever et la guide jusque devant le canapé. Je lui donne une petite tape sur la fesse et la mets à nu complètement en lui ôtant son tanga :

— Ne bouge pas, j’ai encore une surprise pour toi, je lui dis.

Je file vers la chambre pour récupérer mon autre gadget acheté sur le net. Elle me voit revenir avec un gode. Je le lui montre, tout en lui expliquant la spécificité de ce phallus en cristal. Il s’agit d’un plug anal. Il est composé d’une première forme oblongue d’un peu plus de deux centimètres de diamètre, suivi d’une deuxième forme qui s’élargit à presque cinq centimètres. Ensuite cela se rétrécit à trois centimètres, permettant à l’objet de bien rester en place, enfoncé dans l’anus.

— Il est énorme ton truc ? s’inquiète-t-elle.

— Oui et c’est dans ton anus qu’il va aller, je lui réponds.

Je la fais asseoir avec les fesses sur le bord du canapé et remonte impudiquement ses genoux. Écartelée, je regarde avec passion son intimité. Je distingue ses lèvres roses entrouvertes et l’on devine un bout de l’œuf, ainsi que son œillet plissé et fermé. De mes doigts, j’écarte encore plus ses lèvres intimes et ma langue vient laper sa mouille que j’avale avec délice. Drôle de sensation de sentir les vibrations du gode que j’avais presque oublié alors qu’il était encore en marche. Je tire sur la ficelle pour le faire sortir. Je continue de la lécher et enfonce deux doigts dans son trou brûlant. Marjorie ondule du bassin, et ses mains entravées ont agrippé mes cheveux pour que je continue de la lécher. Je m’attaque maintenant à son anus. Ma langue vient déposer sa mouille mêlée à ma salive sur son petit trou. Je fais place à mon majeur et l’enfonce lentement. Marjorie gémit. Je sors mon majeur, dépose de ma salive et réitère l’opération plusieurs fois de suite.

J’ai maintenant saisi le nouveau plug pour le présenter à l’entrée de son anus. Comparé à mon majeur il est vraiment monstrueux. Cela m’excite beaucoup de penser que son anus va s’ouvrir autant. Le premier contact, quand je pose le bout arrondi sur l’anus de Marjorie, la fait sursauter. J’appuie légèrement et les premiers centimètres sont comme aspirés. Je continue la pénétration avec des petits va-et-vient et l’enfonce de plus en plus profondément. Ça y est, je suis à la moitié du plug. La première forme oblongue est complètement rentrée et décrit un cercle parfait de deux centimètres de diamètre.

Je continue. Cette fois-ci Marjorie gémit. Son ventre se creuse, ses fesses se resserrent. Mon autre main vient se poser sur son mont de Vénus et, de mon pouce, je lui titille son clitoris. Le plug anal continue sa percée, le diamètre de son anus s’élargit sérieusement. Marjorie lâche des petits cris aigus coordonnés à mes petits va-et-vient. Voilà, je suis au maximum du diamètre du plug, c’est effectivement énorme. Mais à peine passé, le reste du plug est comme aspiré jusqu’à l’embase. On voit nettement à travers cette embase transparente comme du verre, l’anus de Marjorie honteusement ouvert. J’en reste stupéfait de la netteté avec laquelle on voit les contours de son conduit dilaté.

Je me lève et aide Marjorie à se redresser pour s’asseoir. Cette action pousse encore un peu plus loin le plug dans ses entrailles, un nouveau gémissement bruyant franchit ses lèvres. Je défais le double nœud de son poignet et libère ainsi ses mains :

— Je veux que tu me branles entre tes seins ! j’ordonne.

Excitée, Marjorie se met à genoux et, sans broncher, happe immédiatement mon sexe en bouche et me branle en même temps. Puis elle plaque mon pénis au creux de ses seins. À l’aide de ses deux mains, elle enserre ses seins pour emprisonner mon sexe. Elle commence alors à soulever et faire glisser mon sexe. C’est hyper doux, sa tête se penche en avant et, du bout de la langue, elle vient exciter mon gland. Je suis aux anges, Marjorie a un plug dans les fesses, et le traitement que je subis va bientôt me faire éjaculer. Il faut que je me calme et que je reprenne la situation en main :

— Tu aimes être ma soumise ? je lui demande.

— Oh oui, me répond-elle, t’imagines même pas comment cela me rend folle de désir !

— Alors, redonne-moi tes poignets, je lui ordonne.

Toujours aussi docile et même souriante avec une pointe de malice, elle me tend ses deux poignets. J’attr a p e son poignet gauche qui est toujours noué avec le bout de tissu et en vérifie le nœud. Elle tend l’autre pour me faciliter la tâche, mais elle est surprise quand je me lève et place son bras dans son dos pour attacher son autre poignet au reste du tissu. Je m’agenouille derrière elle et je finis mon double nœud. Sa poitrine est fièrement gonflée et exposée. Ce qu’elle est belle ! Elle a toujours ce sourire aux lèvres qui m’a fait tant craquer. Mais mon excitation est trop grande, et là, maintenant, je veux la baiser, il n’y a plus rien de romantique dans mes attentes, plus de douceur et de délicatesse.

Je l’attr a p e par les cheveux et l’oblige à se lever. Marjorie semble inquiète. Je la pousse sur le canapé et elle se retrouve en position de levrette avec la tête à moitié dans les coussins. Sa croupe est exposée, son anus béant. C’est sans préparation, presque v i o l emment que j’introduis mon sexe gonflé à bloc dans son vagin, lui arrachant un cri aigu. Je suis profondément enfoncé en elle, c’est serré, je sens le plug de l’autre orifice. Je commence alors un furieux va-et-vient. Marjorie crie à chaque coup de boutoir. Ces cris sont comme des encouragements pour moi à aller encore plus vite et plus profondément, mais pour elle je ne sais pas si elle ressent de la douleur ou du plaisir tellement ses cris sont forts. Jamais elle n’avait été aussi bruyante. Je deviens incontrôlable et mon seul but est d’arriver à mes fins, à jouir. Je tire sur le plug et son anus se dilate. Étonnamment Marjorie m’incite à continuer, alors je fais entrer et sortir de son anus le plug jusqu’à l’endroit le plus large.

Ça y est je viens, je sors le plug entièrement et je jouis sur ses fesses. Plusieurs giclées de sperme viennent se répandre. Marjorie continue de gémir alors qu’elle n’est même plus pénétrée. Mon sperme coule le long de sa raie et vient s’écouler dans son anus resté largement ouvert. Je lui défais les liens. Avec ses mains, elle étale le reste de sperme sur ses fesses. Puis, curieuse, elle s’introduit un doigt dans son propre anus pour en vérifier l’état :

— Ça va ? je demande avec inquiétude.

— J’ai adoré, me dit-elle épuisée, avec une voix à demi cassée.

Je m’effondre sur elle. Nous sommes en sueur. Une bonne douche va s’imposer.

Nikooooooooooooo

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